Publié en deux parties sur le site de Contrelittérature, 2009
À lire les textes, hautement intellectuels, d’un S. Thomas d’Aquin par exemple, ou présentant le salut par la connaissance, qu’ils proviennent directement de l’Inde (jñānayoga par exemple) ou à travers l’œuvre de René Guénon (advaita vedānta), on peut légitimement se demander s’il faut être intelligent pour être sauvé.
Cette question comprenant la réponse (négative), il restait à l’expliciter.
Parution de la 1ère partie dans la revue web Contrelittérature du 10 mai 2009.
Parution de la 2ème partie dans la revue web Contrelittérature du 15 octobre 2009.