Résumé. La Science moderne présente des anomalies extravagantes, mais vérifiables par tous, symptomatiques de la dévolution anti-darwinienne : une dégradation intellectuelle générale. Les scientifiques, les philosophes et les historiens modernes ont oublié le rôle central des nombres entiers de Pythagore, ratant que l’Hypostyle de Karnak illustre la Suite Fulgurante qui gouverne l’univers. Newton a raté la physique quantique, pourtant reliée de manière évidente à la quantification de l’espace-temps, liée au Principe Hologaphique le plus simple qui égalise l’aire et le périmètre d’un disque, repoussant l’officiel « mur de Planck » d’un facteur 1061. Les cosmologistes ont raté le calcul en trois minutes de physique élémentaire incontournable qui donne le demi-rayon de l’univers, que les dernières mesures confirment, éliminant « l’expansion de l’univers ». D’où le remplacement du Big Bang par un Bang Permanent, oscillation matière-antimatière dans un Cosmos constitué par le balayage d’une seule particule, l’électron. L’univers apparaît comme une Super-particule dans le Cosmos des Anciens, qui est régi par l’Axe Topologique, réunion de 16 relations « holiques » réhabilitant la théorie des cordes. De plus, il relie directement les paramètres physiques aux nombres bibliques et musicaux 137, 153 et 666, avec des précisions de plus de 7 chiffres, excluant donc tout hasard. Les biologistes ont raté des relations évidentes qui conduisent à caractériser un couple humain idéal, typique du Néolithique, plus fort que le couple actuel. Les caractéristique bio-physiques humaines sont intimement reliés aux paramètres de la Terre et du Système Solaire, impliquant la « Solanthropie » : nous sommes seuls dans le Cosmos, qui est l’élément manquant indispensable pour comprendre la physique quantique. Le Cosmos est la variable non-locale manquante, mais n’est pas caché : il se manifeste par le fond de rayonnement thermique. Nous prédisons donc l’invariance de sa température, ce qui va précipiter la chute du Système Scientifique actuel, dans une crise culturelle sans précédent.

Depuis le raté de Newton, qui n’a pas reconnu la constante quantique impliquée par les lois de Kepler, la Science s’est enfermée dans des abstractions mathématiques, en oubliant le concret, la physique de base. On n’a même pas su distinguer entre le simple et le complexe. Ainsi la cosmologie est actuellement considérée comme le domaine le plus complexe, alors qu’il a suffi de 3 minutes de physique élémentaire incontournable pour calculer le rayon de l’univers, dit « rayon de Hubble », qu’on essaie de mesurer depuis un siècle par la récession galactique (Fig 1). L’ouverture du pli cacheté contenant la formule 3 minutes de 1998 a été demandée en Septembre 2024.

Les premières estimations étaient grossièrement fausses : rayon trop petit d’un facteur 8 pour Lemaître et d’un facteur 7 pour Hubble. Le premier avait pris au sérieux les équations de la relativité générale qui semblaient indiquer une « expansion de l’espace ». Le second a repris les mêmes mesures et a tracé une droite parmi des points qui ne s’alignaient pas. Et pour cause : la récession galactique n’affecte pas les galaxies proches, celles du « groupe local », principalement utilisées, ce qui contredit en fait le concept « d’expansion de l’univers ». Ces malversations initiales, que personne ne signale, ont eu de lourdes conséquences. En particulier, l’évaluation d’Eddington, proche de la formule 3 minutes, est passée à la trappe, ainsi que sa Théorie Fondamentale, alors que sa prédiction du nombre d’atomes dans l’univers observable est correcte, confirmant l’existence de la matière noire. Maintenant, en 2024, la cosmologie est bloquée, notamment par la « tension Hubble », car l’évaluation théorique de ce rayon de l’univers est nettement inférieure à la valeur directement mesurée, qui est bien une distance selon Dirac. L’écart de 3 % est rédhibitoire pour une cosmologie dite « de précision ». Cette mesure directe tend vers le rayon 3 minutes, qui correspond à 70.80 (km/s)/Megaparsec (Fig.1). Dernières estimations : 70.4 (Khetan, Mars 2021), et 71.4 (Freedman, Sept 2023).

À cause des unités utilisées qui remplacent un rayon par l’inverse d’un temps, les officiels n’ont pas réalisé que leur soi-disant âge de l’univers 13,8 milliards d’années correspond à ce rayon de Hubble, qui tend vers 13,8 milliards d’années-lumière, et encore moins que cette distance est invariable, donnée par le calcul 3 minutes, rejeté en 1997 par tous les officiels, sauf l’astrophysicien Jean-Claude Pecker.

En fait, la cosmologie est d’une simplicité biblique. Il a suffi de combiner trois constantes universelles pour calculer le demi-rayon de Hubble. Pourquoi trois ? Car il y a 3 concepts fondamentaux intuitifs en physique, la Masse M, la Longueur L et le Temps T. Toute grandeur physique mécanique est symboliquement un mélange de ces concepts.

Ainsi la vitesse est le rapport L/T. La constante universelle associée est la vitesse de la lumière dans le vide c. Quand on la combine avec la constante de gravitation G et la constante quantique h, on obtient les trois « unités de Planck » du Tableau 1. Pour avoir la masse de Planck, il suffit de rapprocher la quantité astrophysique GM = L³/T² avec la définition quantique h/M = L²/T, ce que Newton a raté, voir ci-dessous. Ces grandeurs cinétiques, c’est-à-dire qui ne dépendent que de L et T, sont précisément dans le rapport L/T, qu’on identifie à c, d’où GM/(h/M) = c, et la masse de Planck s’en déduit par la formule très simple mP = (hc/G)1/222 microgrammes. C’est la masse d’une grosse poussière, beaucoup plus grande que la masse d’une particule, mais qui est reliée à celle de l’ovocyte humain, comme nous le verrons. C’est la principale connexion biologique, mais elle a échappé à tous. La longueur de Planck lP s’obtient par le rapport(L²/T)²/ (L³/T²) = (h/mP)2 / G mP = h2 / G mP3≈ 1,62 10–35 mètre, longueur très petite qui a été assimilée trop rapidement au quantum d’espace, le soi-disant « mur de Planck », que nous réfutons ci-dessous.

Le prolongement de cette formule sans c de lP donne la clef de la cosmologie. En effet, avec la masse de l’hydrogène mH  ≈ 1837 me, où me est la masse de l’électron, la combinaison (h/mH)2 / Gme  donne 6,53 1025 mètre, soit 6,90 milliards d’années-lumière, soit la moitié du rayon de récession galactique directement mesuré R ≈ 13,8 milliards d’années-lumière. En effet, la moitié du rayon de Schwarzschild intervient dans la définition d’un trou noir de masse critique M, soit : R/2 = GM/c2, qui est également la condition critique de la cosmologie officielle, donc le facteur 2 s’élimine dans « la relation des masses » : MmH²me ≈ mP4.

De plus, le facteur 2 signifie que cette relation critique s’écrit sous forme holographique 2D-1D (Aire = Périmètre) : l’entropie de Bekenstein-Hawking du trou-noir-univers est π (R/lP)²= 2 π RM, où ƛM = h/Mc est la longueur d’onde de l’univers, beaucoup plus petite que la longueur de Planck, ce qui met fin au soi-disant « mur de Planck ». Qu’une relation aussi évidente soit restée inaperçue des théoriciens est ahurissant, d’autant plus que le principe holographique est présenté comme l’espoir de la physique théorique. Mais les théoriciens se sont focalisés sur l’holographie ordinaire 2D-3D, négligeant l’holographie la plus simple 2D-1D, que l’auteur avait prévu, associé à « l’holographie temporelle » dans sa thèse de doctorat, ce qui se révèle crucial pour l’ADN, voir ci-dessous.

Ainsi la tension Hubble est résolue, mais la cosmologie officielle doit être réinterprétée de façon drastique. Les concepts d’« âge de l’univers » et de Big Bang sont supprimés. Il y a donc eu, dans les calculs officiels, un mélange entre temps et espace, quand on écrit c = 1, excluant tout calcul dimensionnel. C’est donc la fin du mythe de « l’expansion de l’univers » qu’il faut remplacer par « la récession galactique à rayon constant » dans la cosmologie parfaite de Bondi et Gold, basée sur le « Principe Cosmologique Parfait » : l’univers est homogène à la fois dans l’espace et dans le temps : l’univers n’a pas d’histoire, contrairement à la litanie officielle. Cette cosmologie parfaite ne dépend que d’un seul paramètre, contrairement aux six paramètres de la cosmologie officielle. Le temps de 13,8 milliards d’années est donc la constante de temps de la récession exponentielle : l’accélération de la récession galactique avait donc été prévue par la cosmologie parfaite, ainsi d’ailleurs qu’implicitement par Newton, comme détaillé ci-dessous, alors qu’elle a été une totale surprise pour la cosmologie officielle. L’énergie gravitationnelle classique de l’univers critique est -(3/10) Mc², opposé de l’énergie cinétique classique (3/10) Mc², signifiant que la proportion de la soi-disant « énergie sombre » est le complément 7/10. Les télescopes futurs devront observer l’invariance de ce rapport canonique 7/10.

Cette « cosmologie parfaite » avait prévu le fond thermique avec, contrairement à la cosmologie officielle, une bonne estimation de sa température par Thomas Gold qui assimile l’univers à un réacteur à fusion nucléaire transformant l’hydrogène en hélium. Cela donne 2,61 Kelvin en tenant compte du fond de neutrinos, qui est ainsi confirmé. Mais elle a été victime de sa trop grande perfection : comme elle prévoit que toutes les grandeurs cosmologiques sont invariantes, il a suffi qu’on croie observer la variation de la densité des quasars, pour la déclarer trop vite réfutée. Pourtant, elle justifie la récession galactique par le renouvellement de matière pour contrer la décadence impliquée par le second principe de la thermodynamique, tandis qu’à l’intérieur d’un amas de galaxies l’évacuation est assurée par les trous noirs, qui reçoivent enfin un rôle cosmologique.

Et, pour maintenir l’invariance de la densité, cette cosmologie parfaite exige l’apparition de nouvelle matière « néguentropique », au rythme de c3/2G kg/s, en violation du premier principe de la thermodynamique, la conservation d’énergie. Fred Hoyle a proposé des neutrons, car ils se désintègrent dans le vide en protons, électrons et anti-neutrinos. Ce fut considéré comme un grave défaut. Mais, au contraire, cette cosmologie permet de définir une frontière entre physique et métaphysique, qui s’applique en tout temps et non reléguée à un hypothétique Big Bang, ici réfuté.

Il est capital de remarquer que la formule du rayon de l’univers ne dépende pas de c. En effet, quand on pratique l’analyse symbolique (dite « dimensionnelle »), il faut choisir les 3 constantes les plus afférentes au domaine considéré. Or, en cosmologie, la vitesse lumière est beaucoup trop lente pour assurer la cohérence d’un univers aussi vaste, et qui est réputé quantiquement non-local. Ainsi, quand une sonde survolait Pluton, il fallait attendre 7 heures le signal retour. Lors des 3 premières minutes de son année sabbatique dédiée au principe holographique, l’auteur a donc choisi, pour compléter G et h, le produit des masses des trois particules de la chimie : l’électron, le proton et le neutron, ce qui se ramène pratiquement à la formule précédente car mn mp ≈ mH². La relation des masses ci-dessus devient alors totalement symétrique, ce qui signifie que l’univers est comme une particule, impliquant le retour au Cosmos des Anciens :

R3mn = 2 h²/G me mmp

=>          M me mmp = mP4                     [1]

L’Axe Topologique, le prolongement du Tableau Périodique des éléments, suggère que l’univers est le boson de jauge terminal du Cosmos, pour le nombre orbital k = 7. En effet les bosons faibles correspondent à k = 3, tandis que le boson de grande unification est à k = 5, laissant une place et une seule pour les gluons, à k = 1.

Les deux principales cosmologies concurrentes se raccordant sur le temps de 13,8 milliards d’années, leur synthèse impose le Bang Permanent à la fréquence énorme de cM = Mc2/h 10104 Hz. Plus précisément, il pourrait s’agir d’une oscillation matière-antimatière, résolvant ainsi l’énigme lancinante de l’apparente absence d’antimatière. D’où l’hypothèse que la matière noire pourrait être une vibration matière-antimatière en quadrature. En effet, une extension de la formule 3 minutes implique alors une densité baryonique (matière ordinaire) (3/10)2/2 = 0.045, compatible avec l’observation.

Une connexion microphysique-cosmologie avait été signalée par la double corrélation des grands nombres, dès les années 1930. En effet, dans un atome d’hydrogène, le rapport entre la force électrique et gravitationnel est énorme, de l’ordre de 1040, qui est aussi l’ordre de grandeur du rayon de l’univers rapporté au rayon du noyau nucléaire. De plus, le nombre d’atomes dans l’univers observable semblait voisin de 1080, le carré du premier. Cela a conduit Eddington à proposer une formulation statistique, qui s’écrit de manière très symétrique, dans notre modèle de la molécule gravitationnelle d’hydrogène où le « négentropique » neutron est remplacé par l’hydrogène donc avec R = 2h²/GmemH mp,, avec ƛH = h/mH c, la masse effective de l’électron m’e = me/(1 + me /mp), et l’écart relativiste b = me/(mH -mp) :

hc/Gmpme  = (M / me)1/2 = R / 2ƛH 153 f(26) / b 

=>  hc / f(26)Gmp(mH -mp 152,9999     [2]

La précision sur le nombre 153 est remarquable (10-7), en utilisant notre valeur de G compatible avec celle du BIPM. Alors que les autres constantes universelles sont définis à 10-9 près (Tableau 1), notre G est plus grand d’un facteur 1,5 10-4 que la valeur officielle, inconsidérément choisie initialement en moyennant des mesures incompatibles entre elles. Le grand nombre f(26) = e^(2^(26/4) est la fonction topologique pour la dimension principale d = 26 de la théorie tachyo-bosonique des cordes, où la dimension 2(2k+1) = 26  correspond au nombre orbital k = 6. Les théoriciens n’ont pas rapproché la série spéciale des dimensions de cordes 4k +2 avec la multiplicité magnétique classique des termes spectroscopiques 2(2k+1) du Tableau Périodique, où le facteur 2 vient du spin de l’électron, qui est donc associé à la corde à deux dimensions. Cette fonction traduit la réunion de 16 relations holographiques 1D-2D dans l’Axe Topologique, qui réunit les principales grandeurs physiques, rapportées à la longueur d’onde Compton réduite de l’électron ƛe = h/mec.

En particulier, R/ƛe ≈ 6 f(26), ce qui implique que le rapport de masse proton-électron est très voisin de l’entier 6 × 2 × 153 = 1836, ce qui conjugue 2 nombres bibliques : les 153 poissons et les 12 apôtres-pécheurs, 12 étant le plus petit nombre surabondant (inférieur à la somme de ses diviseurs) qui définit les nombres étoilés à partir d’un nombre triangulaire. Or 153 est le 17e nombre triangulaire : 153 = 17 × 18 / 2. Donc le nombre1836 = 12 × 153 est le 17e nombre étoilé, auquel il manque un terme pour devenir le nombre étoilé centré 1837, représentatif du rapport de masse hydrogène-électron. Ainsi les paramètres physiques principaux 1836 et 1837, reliés par l’unité qui représente l’électron, font partie des « nombres figurés » des Pythagoriciens, ce que personne n’a remarqué. Par contre, le 4e nombre étoilé, basé sur la Tetraktys 10 = 1 + 2 + 3 + 4 est assez connu : c’est le damier chinois (Fig 2), alors que 153 est la « Grande Tetraktys » (Fig. 3), basé sur le nombre 17 qui est la somme des 4 plus petits nombres premiers 17 = 2 + 3 + 5 + 7.

D’après le Principe Holique de l’auteur, ces 4 nombres sont représentatifs respectivement du temps (à 2 directions), de l’espace (à 3 dimensions), de la masse (à 5 composants) et du champ non-intuitif où « co-matière » (à 7 composants). La Tetraktys 10 traduit la relation entre ces quatre « nombres holiques », c’est la « relation des deux mains » : 10 = 2 × 5 = 3 + 7, où 7 = 23 – 1, qui est l’amorce de la Suite Fulgurante des nombres de Mersenne étagés dite de Catalan-Mersenne, le suivant étant 27– 1 = 127, ce qui produit la somme 3 + 7 + 127 = 137, le nombre d’Eddington pour la constante électrique a (voir Tableau 1), clairement représenté dans la Salle Hypostyle de Karnak avec ses 7 + 127 = 134 colonnes et ses 3 pylônes. Le quatrième et dernier terme est le nombre de Lucas 2127– 1, le nombre premier le plus célèbre de l’histoire. Mais personne n’a signalé qu’il est aussi de l’ordre du fatidique 1040 ci-dessus, décisif dans la cosmologie parfaite.

Figs 2 et 3. Le nombre d’Eddington 137 est la moyenne entre les (12 × 10 + 1) = 121 = 11² éléments du damier chinois, le quatrième nombre étoilé centré, basé sur la Tetraktys qui est le 4e nombre triangulaire, et les 153 éléments de la Grande Tetraktys, le 17e nombre triangulaire, base du nombre étoilé centré 1837 = (12 × 153 + 1). D’où 137 = 11² + 4², où 4 est la dimension de l’espace-temps et 11 celle de la Supergravité.

Les paramètres de la physique sont donc reliés à la géo-numérique sacrée. Mais la tradition pythagoricienne s’est perdue au fil des âges, à commencer par Newton lui-même, qui faisait pourtant partie des soi-disant « Pythagoriciens ». En effet, la troisième loi de Kepler s’écrit, conformément au Principe Holique ci-dessus, T² = L³ où T est un rapport de temps, et L un rapport de longueurs. Tout Pythagoricien raisonne en termes de nombres entiers, ce qui quantifie l’espace-temps, et en conclut que c’est la puissance n⁶ d’un entier n, donc que T = n³, et L = n², ce qui implique que la vitesse aréolaire (l’autre loi de Kepler indique son invariance sur une orbite planétaire) est L²/T = (n²)²/ n³ = n, la loi de quantification, qui ne fut postulée qu’en 1913 par Bohr, sans référence à la quantification de l’espace-temps ci-dessus.

De plus, Bohr prétendit que la théorie quantique était complète, soutenu en cela par un « théorème de complétude » du logicien John von Neuman, tombé dans l’oubli car réfuté 30 ans plus tard. Le fameux débat entre Bohr et Einstein, qui soutenait fort justement que « Dieu ne joue pas aux dés », mais s’accrochait à cette idée futile que la physique est locale, c’est à dire limitée par la vitesse c, a tourné au ridicule quand on en a déduit qu’il ne pouvait y avoir de paramètre caché… local !? C’était donc évident dès le départ, mais quid des paramètres cachés non-locaux ? Le calcul 3 minutes montre que ce qui manque c’est le Cosmos, éminemment non-local et non-caché, car traduisant sa présence par le rayonnement de fond. La compréhension de la physique quantique est donc indissociable de la cosmologie. De même pour la physique classique, comme le montre le pendule de Foucault, qui s’aligne sur le fond de rayonnement, donc le Cosmos. En effet, notre vitesse absolue, environ 600 km/s, est déterminée par l’anisotrope Doppler du fond de rayonnement thermique. 

L’histoire raconte que Newton avait différé la publication de ses « Principia » car il cherchait une seconde constante universelle pour gérer la physique locale, afin de compléter sa découverte de la constante G, qui gouverne l’astrophysique. Il a donc raté la constante h telle que h/M = L²/T,  forme symétrique cruciale par rapport à la masse de GM = L³/T². C’est d’autant plus déplorable que Roemer est venu en personne à Cambridge en 1676 lui signaler la nouvelle constante universelle, la vitesse de la lumière. Newton aurait donc pu en déduire la formule ci-dessus de la masse de Planck, et, en l’identifiant à la masse de l’ovocyte humain, estimer la valeur de h. En effet, Newton parcourait les traités d’alchimie, et pouvait avoir connaissance de l’ovocyte humain, visible à l’œil nu, mais on ne peut le certifier car il a brûlé tous ses documents à la fin de sa vie. L’astrophysicien Jean-Claude Pecker, un officiel anti-Pythagoricien, a brutalement changé d’avis en apprenant que Newton avait ainsi raté la quantification de l’espace-temps, l’unification gravito-quantique qui est recherchée si activement par tous, mais sans aucun succès, et pour cause : la croyance incongrue dans le « mur de Planck », réfuté ci-dessus.

La légende raconte que le Pythagorisme aurait été perturbé par la découverte que 21/2, la racine de 2, n’est pas rationnelle, c’est-à-dire un rapport de deux entiers. Cet argument ne tient plus dans un espace-temps quantifié. En fait, la construction des racines d’entiers dans la Spirale de Théodore, donne, quand on part de 153, le quatrième terme 41/2 × 153 = 306, qui est très voisin de 51/2 × a mp / mn, à 4 × 10-8 près, c’est-à-dire lié à la constante électrique a = 137,0359991 avec 7 chiffres significatifs. La propriété spécifique du nombre canonique 4 est donc que c’est le plus petit carré parfait, et l’antécédent de 5, dont la racine est liée au nombre d’or, d’influence centrale en botanique.

De plus, 306, le nombre de notes dans la 5e gamme musicale optimale est très voisin de la puissance 5 de π, et 6 × 306 = 1836 est la forme pythagoricienne de la formule de Wyler 6π5 pour le rapport de masse proton-électron, c’est-à-dire le produit du volume π3 d’un cube de côté π par sa surface 6π2. Ainsi le nombre étoilé plan (2D) 1836 a aussi une interprétation spatiale (3D).

Il est capital de remarquer que 306 est voisin à la fois de la masse atomique de Fermi et de la masse atomique moyenne d’un nucléotide monophosphate anhydre d’ADN, ce qui fait que la masse atomique d’un bicodon, regroupant 3 couples de type AT ou GC est voisine de 1836. En fait, la relation des masses atomiques G + C = A + T + 1, qui a échappé à tous les biologistes, implique que les couples AT et GC ont même masse à un hydrogène près. Donc la masse d’un bicodon est invariante à 3 hydrogènes près.

Cela suggère que l’ADN est un calculateur utilisant la base 3, la base entière optimale, car c’est l’entier le plus proche de la base optimale théorique e = 2,718, appelée « base des logarithmes naturels ». Le logarithme d’un nombre N en base b n’est autre que l’exposant correspondant N = blogN. Cette définition très simple : logarithme = exposant est passée sous silence par les officiels. Donc e doit être défini directement : c’est le nombre x tel que x1/x est maximal. Par exemple 21/2 ≈ 1,414 est inférieur à 31/3 ≈ 1,442, lui-même inférieur à e1/e ≈ 1,445,  montrant la supériorité de la base 3 sur la base 2. Ramanujan et Hardy ont montré que le double logarithme naturel (noté « ln » sur les calculettes) d’un grand nombre entier est statistiquement son nombre de diviseurs, donnant une signification Pythagoricienne à  l’Axe Topologique.

On ne peut imaginer faisceau plus serré de relations évidentes entre nombrologie sacrée, géométrie, biologie et physique fondamentales. Or ces relations évidentes échappent totalement à l’enseignement des sciences, trop abstrait. Ainsi, selon Grothendieck , le meneur des mathématiques modernes, : « les mathématiques sont trop belles pour s’abaisser à traiter de physique », où encore, « les théorèmes doivent s’appliquer à tous les nombres, de façon indifférenciée ». On voit combien ce mathématicien si prestigieux est loin de la réalité, puisque l’Axe Topologique réhabilite la théorie tachyo-bosonique des cordes, que beaucoup avaient rejeté, comme Alain Connes, le chef de file des mathématiciens actuels en France, sous prétexte qu’elle admet des tachyons, particules excédant la vitesse-lumière.

L’Appel de Reims fait la liaison entre le délire de ces mathématiciens abstraits et la place catastrophique (29e) de la France dans l’enseignement des mathématiques, conséquence des « maths modernes » de triste mémoire. Il faut revenir d’urgence, dès le primaire, à la nombrologie musicale de Pythagore, et la géométrie élémentaire ci-dessus.

Les biologistes butent sur le fonctionnement de l’ADN. Il est logique de considérer que la chaîne ADN est un hologramme 1D-2D : un signal parcourant cette double spirale produit des ondes 2D qui structurent l’organisme, précisant les travaux du biologiste virologue Luc Montagnier (1932-2022), que les officiels ne prennent pas au sérieux. Mais c’est pourtant l’avenir de la bio-informatique, autrement plus prometteuse que l’ordinateur quantique initié par des officiels qui n’ont rien compris au concept de « photonde », car le photon ne se propage pas, il n’apparaît qu’à sa détection. On n’a même pas compris que l’effet laser est non-local. Pas étonnant que le premier laser fut un bricolage, dont la publication fut refusée par les officiels, débouchant sur 20 ans de procédure judiciaire, ce dont personne ne parle.

Ce retour du bon sens est d’autant plus souhaitable et nécessaire que les Égyptiens avaient défini le mètre, précisément par cette holographie 2D-1D qui a échappé à tous, bien que ce soit la relation la plus simple qu’on puisse imaginer : l’égalisation de l’aire d’un disque avec son périmètre, les deux concepts qu’Archimède, anticipant le calcul différentiel, avaient associés au nombre π. En effet, un marin situé à 1 mètre du niveau de l’eau, a un horizon terrestre de 3570 mètres, donc embrasse un champ de vision d’aire π 3570², égal numériquement à la circonférence terrestre 40 millions de mètres : le mètre est donc l’unité qui permet cet accord numérique, qui n’est que la transcription d’une propriété élémentaire de géométrie, la puissance d’un point par rapport à une sphère. D’où les 40 000 km de la Convention, qui relie le mètre et le rayon terrestre de façon moins précise que le recours à ce nombre fatidique 3570, qui est le produit de la somme 17 = 2+3+5+7 et du produit 210 = 2×3×5×7 des 4 nombres « holiques » 2,3,5,7 ci-dessus.

De plus, 3570 est l’antécédent de 3571, la 17e puissance du nombre d’or qu’on obtient comme 17e terme dans la suite de Lucas qui commence par 1,3,4,7,11,18,29, 47… Chacun peut vérifier sur sa calculette que la 8e racine du 8e terme 47 est 1,618, proche du nombre d’or. Ces propriétés doivent être enseignées dès l’enfance, c’est la clef de la résurgence de l’excellence dans l’enseignement des mathématiques. La décomposition 4 = 3 + 1 est si fondamentale qu’elle intervient dans l’espace-temps théorique 4D qui se décompose en 3 dimensions d’espace et une de temps. De plus, la Tétraktys 1+2+3+4 devient 1+2+3+(1+3) = 7 + 3 divisant la Tetraktys en (1+2) + (3+4), somme des deux nombres premiers 3 et 7 qui sont l’origine de la Suite Fulgurante ci-dessus qui contient 137 et le nombre de Lucas qui gouverne l’univers.

La suite suivante, dite « musicale » 1,4,5,9,14,23,37,60… donne pour 11e terme 2 ×127, tandis que le 12e est 3 × 137 où 127 = 153 – 26 = 137 – 10, définissant la dimension centrale des cordes 26 = 10 + 16, où 10 est la dimension des supercodes. Et le terme suivant est 665, nombre de notes dans la Sixième Gamme optimale, antécédent du biblique 666.

Les philosophes modernes se sont alignés sur les scientifiques des soi-disant « Lumières », et ont donc renoncé à comprendre le détail des calculs, réservés aux seuls « initiés ». Le drame, c’est qu’ils ont, eux aussi, rejeté les nombres entiers Pythagore et la physique élémentaire présentée ici, vérifiable par toute personne cultivée : le niveau bachelier n’est même pas requis. Le philosophe-logicien Bertrand Russel s’est ingénié à démontrer que 1 + 1 = 2 en 180 pages de raisonnements complexes, pour finalement reconnaître en fin de carrière, devant le succès de la physique des particules, basée sur des nombres entiers, « le plus étonnant est que le Monde soit Pythagoricien », ce que personne n’a relevé.

La masse ci-dessus mbc du bicodon permet d’écrire le demi-rayon de l’univers sous deux formes, illustrant la symétrie cruciale G h ci-dessus, basée sur la masse de l’électron :

R/2 = (h/mH)2 / G me  ≈ (h/me)2 / G mbc 

=>    mH2 = mbc m

=>      (h/me)2 / G = mbc  R/2  ≈  200  mètre . kg           [3]

Cela favorise un Homme Idéal de taille 2 mètres pesant 100 kg, donc « d’indice corporel » optimal 25 kg/m². En fait, les hommes du Néolithique étaient plus grands et forts que les contemporains, confirmant la théorie anti-darwinienne de la « dévolution ». Celle-ci pourrait aussi expliquer la dégénérescence intellectuelle actuelle : en 350 ans, personne n’a relevé l’erreur de Newton. De plus, durant le dernier siècle contenant plus de savants que dans toute l’Histoire, à notre connaissance, aucun chercheur n’a souligné le calcul 3 minutes, pourtant élémentaire et incontournable pour tout physicien qui se respecte.

La longueur non-locale attachée à cette masse du bicodon  h2 / G mbc32 lK  s’identifie au double de la longueur de Valery Kotov, produit par c de la période tK = 9600,59 seconde des oscillations non-Doppler de plusieurs quasars, prouvant directement l’existence de signaux plus rapides que la lumière. En fait, des vitesses supérieures à c sont autorisées par la Relativité de Poincaré, introduisant les tachyons de vitesse minimale c, opposés aux bradyons usuels, de vitesse maximale c. Kotov a montré que la longueur lK est d’importance centrale dans le système solaire, en particulier très voisine de la distance Soleil-Uranus, tandis que tK est environ la neuvième partie du jour terrestre.

La question se pose alors : y-a-t-il une formule symbolique pour le rayon de l’atome le plus simple, l’hydrogène ? La réponse est positive, car celui-ci introduit alors la fraction 1/1371/2 de la masse de Planck, qui s’identifie avec la masse de l’ovocyte humain mov ≈ 1,8 microgrammes, sphère d’eau de diamètre 0,15 mm, la limite de visibilité humaine. Comme ci-dessus, la formulation est doublée par la symétrie cruciale G – h, toujours par rapport à la masse de l’électron, introduisant la masse mA, qui définit le quantum d’espace, le « topon » d = h2 / GmA3 = (2lP³/RC)1/2 relié au rayon RC de notre Cosmos holographique et redonnant l’homme idéal ci-dessus :

rH = (h/mov)2 / G me  = (h/me)2 / G m

=>        mov2= mA  m

=>        (h/me)2 / G = rH m≈  200  mètre . kg         [4]

Cet Homme Idéal est confirmé par la Femme Idéale pesant 100 kg/21/2 soit 71 kg, et mesurant, avec le même indice optimal de masse 25 kg/m², la taille 2 mètre / 21/4 soit environ 1,7 mètre. En effet, on observe alors la conjonction remarquable suivante impliquant une relation spectaculaire qui a échappé à tous les tenants du principe anthropique officiel, trop aligné sur le scénario évolutionniste ici réfuté de la cosmologie officielle :

NA= mA /mHo ≈ mFe /mov 38 milliards

=>       mov3 ≈ mHo mFe me                 [5] 

Ce nombre NA, typique de la population humaine, et voisin du rapport des deux couplages nucléaires, est appelé « nombre Armageddon », et mA « masse Armageddon ». Les femmes ne sont aucunement dévalorisées, car la masse atomique de cette Femme Idéale est très voisine de la puissance 137 du nombre d’or, qui occupe une place centrale dans les relations décisives qui font intervenir la masse du bébé humain idéal et le rapport des couplages électrique et nucléaire. Autre signe de la dévolution intellectuelle : le rejet des femmes des milieux scientifiques, qui est symptomatique de l’aspect inesthétique de la Science officielle.

De plus, la densité critique de l’univers est très voisine d’un neutron par volume du couple humain. Cette densité critique, associée à h et la constante de Fermi de la physique des particules donne un temps énorme, donc cosmique, 5.48 × 1057 seconde qui s’identifie à celui donné par la méthode 3 minutes donnant cette fois un temps h3/G²m⁵, où m = (mempmn)1/3, ce qui signifie une symétrie ternaire entre électron, proton et neutron qui échappe totalement aux physiciens des particules. De plus, Eddington avait prédit le lepton tau par un argument de symétrie, ce qui a été oublié. Tout cela devrait maintenant débloquer la Supersymétrie.

L’identité de cette densité critique entre l’univers et le Cosmos, régi par la vitesse tachyonique C, définit le rapport tachyonique C/c = RC/R ≈ 1061. Or le mystère central de la physique est le rapport énorme 10122 entre l’énergie du vide quantique et l’énergie de l’univers visible Mc². Donc l’énergie du vide est d’ordre MC², justifiant le Cosmos tachyonique.

La combinaison directe de G, h et la constante de Fermi définit le neuron tN, temps de 19,14 ms, typique du système nerveux humain et donnant la tonalité optimale Fa mineur avec le réglage optimal des pianos de concert La3 = 442,9 Hz. De plus le neuron est directement liés au topon d ci-dessus, par b0 (tN // tP)² ≈ ƛe/d  impliquant seulement le rapport « cristallo-musical » 10D et 11D : b0 = 419/417, correspondant à la gamme de Joël Sternheimer à 144 notes, avec la précision 10-8.

Et le neuron est associé au rayon R1 de l’univers mono-électronique par la double relation (R1/2ctN)² ≈ R3m/2ƛe = ƛpƛn/lP². Cela entérine l’intuition de Wheeler, conduisant à la sphère de rayon R1 ci-dessous, qui ne dépend que de ƛe et a (sans G), selon laquelle l’univers est le balayage d’un électron unique. Ainsi les électrons sont tous pareils, car il n’y en qu’un seul, une idée qui  est venue à l’auteur à l’âge de 16 ans. L’objection de Feynman, selon laquelle il devrait y avoir alors autant de matière que d’antimatière, ne tient plus dans l’oscillation matière-antimatière ci-dessus. Cela conduit à la formule statistique suivante d’une beauté totale, où les sommes portent sur les entiers n entre 2 et R1/ƛe,  impliquant la constante d’Euler cE ≈ 0,577215665 :

rH/ƛe  = a mH/mp =  S (1/n) / (S(1/n²) ) = (ln (R1/ƛe) + cE – 1) / ( (π²/6 -1) )

=> R1 ≈ 15,7743156  109 a-l      [6]

En faisant varier n entre 1 et RC/ƛe, le rapport a mH/mp est remplacé par a + 1 + 21/2mH/mp, ce qui confirme notre rayon du Cosmos RC à 4 10-6 près.

Ce faisceau de relations est confirmé par une étude statistique qui relègue à 10-40 la probabilité d’une autre telle association Humains-Terre-Système Solaire-Univers dans le Cosmos : nous somme seuls dans l’univers. Cette « Solanthropie » est indépendamment suggérée par l’astrophysicien Jean-Pierre Bibring sur la base de l’étrangeté des systèmes planétaires extra-solaires, en regard de la spécificité extra-ordinaire de la Terre. Ainsi l’étude des extra-mondes, loin de favoriser la « pluralité des mondes habités », milite plutôt pour la « Solanthropie », ici fermement établie.

Que ceux qui ont raté leur Bac à cause de disciplines aussi indigestes que les mathématiques, la physique et la philosophie modernes, darwinistes et anti-pythagoriciennes, se rassurent en vérifiant la précision remarquable les calculs élémentaires présentés ici. En prenant les valeurs du Tableau 1, chacun aura le plaisir de voir s’afficher sur sa calculette, qui est l’équivalent moderne combien précieux du télescope des découvreurs, le nombre biblique 153,0000. Tandis que l’enseignement de Pythagore devrait être obligatoire, ces disciplines officielles sinistrées devraient être optionnelles. 

L’utilisation des logarithmes permet de traiter des nombres plus grands que 10100, car un produit est remplacé par la somme des exposants, c’est-à-dire les logarithmes, de sorte que chacun peut vérifier que 137137 est très proche du volume du cosmos, rapporté au cube du rayon de l‘atome d’hydrogène. De plus 137137 est très voisin du nombre d’éléments du Super-Groupe constitué par la « famille heureuse » des 20 groupes sporadiques associés au Groupe Monstre. Cela signifie que les paramètres physiques sont des bases optimales de calcul. Comme les groupes sporadiques sont à la pointe de l’Arithmétique actuelle (baptisée pompeusement « Théorie des Nombres »), les paramètres physiques sont des guides précieux pour l’avancement des mathématiques.

Le Cosmos des Anciens a été à ce point oublié qu’on ne le reconnaît même pas dans le magnifique fond de rayonnement, dont la température est donnée par le grand nombre premier de Lucas, où la Nature facétieuse introduit des diviseurs holographiques, et qui est lié au terme holographique 3D qui prolonge l’écriture holographique 1D-2D de la formule 3 minutes qui implique le neuron ci-dessus. De plus, les physiciens modernes se sont tous alignés sur la Relativité d’Einstein, qui n’a pas repris le « référentiel fixe » de la Relativité de Poincaré, et donc sont incapables de définir la base du principe d’inertie, le référentiel absolu, anticipé par Newton, qui contrôle le pendule de Foucault.

Selon la cosmologie parfaite, le panorama des galaxies doit être inchangé au cours des âges. Il était donc facile de prévoir qu’au fond de l’univers on observerait les mêmes galaxies que les locales. L’abstract de « Back to Cosmos » se termine ainsi par « The standard evolutionary cosmology will soon be excluded by the observation of mature galaxies in the very far-field »1. Donc, 2 ans avant le lancement du nouveau télescope spatial JWST, les « galaxies impossibles », avaient été annoncées. Elles sont effectivement observées, plongeant les officiels dans la plus grande consternation.

Mais apparemment l’erreur est si profonde et tenace qu’il en faut encore plus pour que les officiels retrouvent la voie du bon sens. Des carrières universitaires sont en jeu, et il est tentant de recourir à de nouveaux « épicycles » pour sauver carrières et réputations. Ce fut déjà le cas pour expliquer l’uniformité du rayonnement de fond, si évidente et nécessaire en cosmologie parfaite : on a introduit la grotesque inflation où les dimensions de l’univers ont augmenté à une vitesse supra-luminique. Puis ce fut « l’énergie sombre » prétendant expliquer l’accélération de la récession galactique, alors que Newton avait prévu qu’une force répulsive devait empêcher sa gravitation universelle de provoquer l’effondrement de l’univers. La forme symbolique la plus simple d’une force est d’être proportionnelle à la distance, ce qui suggère la loi la plus simple de récession, la loi exponentielle, donc accélérée. On explique ainsi pourquoi la récession n’est effective qu’au delà d’un million d’années-lumière, donc n’affecte pas les galaxies du groupe local. Puis ce fut le Multivers, le comble des épicycles, où dans une profusion inouïe d’univers inobservables, on prétend qu’il s’en trouve un dont les paramètres soient propice à la vie, le nôtre. On nage en plein délire anti-scientifique mais officiel.

Ce Multivers s’appuie sur la non-reconnaissance des paramètres physiques comme nombres mathématiques spéciaux, ce qui est démenti dans cette étude, à la fois par leurs connexions Pythagoriciennes, l’implication des groupes sporadiques, et leur interprétation comme bases de calcul optimales.

Les officiels ont gravement sous-estimé la complexité de la vie, ne serait-ce que celle d’une cellule vivante. A part certains biologistes lucides, les officiels étaient certains de trouver des traces de vie sur Mars, sous le prétexte que d’anciennes rivières y avaient laissé des traces d’eau liquide et ils furent gravement déçus. En effet, cette étude prouve la « Solanthropie », montrant que la recherche d’une vie extra-terrestre est vaine.

Il faut s’attendre à ce que les nouveaux super-télescopes en préparation révèlent l’invariance de la température de fond. La réputation de la Science officielle, principalement dirigée par les Nord-Américains, déjà fortement ébranlée, sera définitivement perdue. Cette catastrophe culturelle de première ampleur est le résultat de l’oubli des nombres entiers de Pythagore. On a préféré fonder la Science sur des mathématiques absconses dont nous prouvons ici l’incomplétude. Alors se lèvera une nouvelle génération de chercheurs, guidés par les principes de bon sens de Pythagore.

Tableau 1. Principales constantes universelles en unités mécaniques kg, mètre, seconde, du Système International. Unités de Planck, Formule 3 minutes. Rayon de l’univers. Propriété du couple 137 / 60 = 1 + 1/2 + 1/3 + 1/4 + 1/5. Nombre biblique 153, monstre numérique méconnu :153 = 13+23+33 = 1!+2!+3!+4!+5! = (1!+3!+5!) + (2!+4!) = 127 + 26 = 137 + 16  => 137 = 3 + 7 + 127, raccordant avec la Suite Fulgurante.

Nota : Le grand nombre f(26) est donné par l’Axe Topologique pour la dimension centrale 26 de la théorie des cordes.

Notes

  1. « La cosmologie évolutionniste standard sera bientôt exclue par l’observation de galaxies matures dans le champ très lointain« []